Les questions

les plus fréquentes.

Pourquoi m'offrir un temps d'arrêt ? En quoi ça m’aiderait ?

Certaines solutions sont à portée de main et pourtant on ne les voit pas. S'arrêter, prendre du recul, c''est se donner les moyens de voir tout ce qui est autour de nous et que, pourtant, nous ne voyons pas tant nous sommes en train de courir.

S'arrêter seul, s'arrêter avec d'autres (rando), solliciter une consultation, aller marcher, vivre quelques jours en silence,... L'idée est vraiment de choisir ce dont on a besoin et se l'offrir, tout simplement.

Pourquoi j'hésite à vous appeler ?

Peut-être avez-vous l'impression que vous n'avez pas le temps, qu'il y a trop de choses à faire pour se donner le droit d'une pause.

J'aime ces quelques mots du Dalai Lama : "Lorsque j'ai beaucoup de choses à faire, je commence par méditer" (en gros). J'ai reçu ses mots comme une invitation, un conseil et je dois bien avouer que c'est très aidant.

M'offrir une pause quand tout m'invite à courir est gage d'efficacité. Aujourd'hui, je travaille quand l'énergie est là. Il y a bien quelque tâches que je m'oblige à faire sans en avoir l'envie. Mais c'est plus exceptionnel. Mon quotidien est "câblé" sur la mise en action à partir de ce qui appelle, ce qui pousse en moi. Et si 1000 idées s'invitent ou s'imposent en même temps, c'est m'arrêter, respirer qui me permet d'y voir plus clair.

Et si quelques instants d'arrêt dans une journée font du bien. Il est évident que quelques journées pleines (sans obligation extérieure) sont salvatrices. Juste pour se rappeler nos essentiels, juste pour se réjouir de tout ce qui est déjà accompli, juste pour se laisser surprendre pour ce qui se montre, délicatement, parce qu'on n'attend rien d'autre que l'envie de se retrouver.

Qu'est-ce qui vous distingue des autres propositions ?

Proposer du "rien" est rare.

"Pourquoi vais-je payer quelque chose si l'organisation est "de ne rien organiser" ?"

Aujourd'hui, le "rien", le "vide" est un luxe. Ce n'est pas évident de ralentir. Ralentir, à l'extrême, c'est mourir. Pour ralentir, cela demande la proximité d'une personne qui n'a pas peur du vide. On peut bien sûr vivre cela en vacances. On peut se retirer dans un monastère. Je vous le conseille vivement. A l'abbaye de Brialmon, par exemple. On peut vivre cela dans n'importe quelle chambre d'hotes.

Le cadeau de cette invitation est de faire une pause, ici chez moi, à la mer ou n'importe où!! Mais surtout, arrêtons-nous de temps en temps.

Pourquoi avez-vous choisi d'offrir un espace informel ?

Ces dernières années, j'ai mesuré combien j'aime observer "tout ce qui se passe lorsqu'il ne se passe rien". Je n'ai plus besoin de grandes transformations théâtrales, douloureuse ou explosives. J'aime ce qui s'invite, de manière visible et guidée. Et j'aime aussi ce qui s'invite naturellement, parce que tous les ingrédients nécessaires à la transformation sont là.

Venir pour se transformer serait une erreur. Venir pour s'arrêter est l'intention avec laquelle on entre dans cet espace. Personne ne sait ce qui est "caché derrière le voile". Alors surprise. Je dirais également que certaines prises de conscience arrivent de retour chez soi. Et c'est tout notre talent à nous de les voir et surtout de les ancrer, de garder le lien. Et si on ne le fait pas, la vie s'occupera de nous offrir moultes répétitions pour nous permettre de comprendre ce qu'elle souhaite nous enseigner.

Je dirais pour terminer que nous sommes à l'époque de la physique quantique. Et si je peux résumer la physique quantique en quelques mots, je choisirais "l'importance du vide"... Intéressant, non ?